J’ai rédigé ces aphorismes dans les années 90, ils devaient être au nombre de 365 , il m’en reste encore quelque uns à rédiger. ce sont des jeux de mots liés à la Spiritualisé, certains sont faciles, d’autres plus énigmatiques 😉
Le chemin, c’est la fin de la peinture sur Soi.
L’ego, c’est un jeu de construction pour enfants
Je pense, donc je ne suis pas.
Un Tramway nommé désir peut parfois dérailler.
Un et Un font Dieu.
Pour le moment, Je suis celui qui suit.
Il y a autant de Mondes que d’yeux, mais Dieu n’en voit qu’Un
Ne pas être égoïste, c’est ne penser qu’à Soi.
N’écoute pas le Conteur, écoute plutôt ton cœur, il compte sur toi.
Pour que ta mémoire vive, demande à Ram
Les opinions de divers gens divergent. Êtes vous divers ?
Vos désirs sont désordre, même si vous avez du génie.
On part sans savoir où l’on va, et on finit par arriver ailleurs.
Une Maya l’endroit, une Maya l’envers, tricot stérile…
Si tu es lié, alors tu n’es pas relié !
Libère ta liberté !
Attention, les pouvoirs occultes, occultent !!
Si tu lis l’avenir, l’avenir te lie !
La vague se dit unique, elle divague…
Laisse tes tics……. pour l’esthétique de l’âme.
Unis vers un cœur ouvert, centre de l’univers.
Une piqûre de Mystique, peut vous donner la fièvre !
Sans casser deux, on peut faire de la Mayannaise !
Tu penses tes plaies!, accepte la douleur et ta souffrance disparaîtra!
N’idolâtre personne, la peinture des idoles peut te rester aux doigts
Saches que le plus grand chêne , était un gland, comme toi
Ouvre ta porte et le destin te porte.
Ferme ta porte, et il t’emporte!
La voie sera plus claire, si tu chantes à tue-tête !
Réfléchis, tu n’as d’yeux que pour toi.
Un non d’avance c’est un pas en arrière.
Voter Un ,c’est la fin de la démoncratie .
Une tête trop pensée c’est une facture du crâne.
Voir ou dormir, il faut choisir.
Le pays des grands gourous, n’est pas l’Australie.
La fin justifie le milieu.
Un être, est ce l’arbre que cache la forêt ?
Quand je dors, suis-je éveillé ?
Je demain, jeu de vilain.
Êtes vous êtes nus, sous le mental
N’échafaudez plus de projets, perdez la tête, tout simplement.
Lâcher prise n’est pas si courant, laissez tomber la tension.
Si tu cours après ton ombre, elle se sauve, si tu la fuis, elle te suit…vivement midi
Ne pas avoir la tête dans les nuages, mais entre les nuages.
Moi ce que je préfère dans ces pièces de théâtre, c’est l’entracte.
La croyance est souvent un mensonge qui peut donner une crise de foi.
La question est : qui fuis-je ?
Si l’être est sans ciel, où est le soleil ?
Rien ne sert de courir, il faut mourir à point.
Aurais tu peur de ton Nombre ?
Nom de dieu ou non de dieu ?
Dieu ou deux , il n’y a qu’un i de différence.
Le son ça créé, et pourtant le silence c’est le son sacré, quelle leçon.
Mes cinq sens créent mon monde, et pourtant il n’a pas de sens.
D’abord, indiscipliné, ensuite, un disciple est né.
Attention à Maya la belle, son miel ensorcelle, mais son venin fait pleurer les enfants.
Le sage n’est pas privé de désert.
Attention ! Les diabolos mentent.
Aujourd’hui, je me fais l’Hara qui rit.
Centré, c’est ouvert !
Il faut savoir être tranchant pour vider sa coupe.
Un écran total vous laisse sans soleil.
Où il y de la chaîne, il n’y a pas de plaisir.
Mieux vaut une tête bien vide qu’une tête bien pensée.
Tu as plus d’une corde à ton âme, coupe ces liens du cœur, tranche ces liens du corps.
Le maître du jeu aime les extrêmes, il faut jouer atout cœur.
Ma mémoire a des passés, parfois ils dépassent.
Sur le chemin c’est quitte ou double, mais vous pouvez revenir pour une autre partie.
Des lustres sans lumière, cela fait de l’ombre à mon ego.
Qui s’occupe du milieu où l’on vit, s’intéresse au recyclage.
Le verbe créateur se conjugue au présent, pas au passé décomposé.
Un Soi vaut mieux que deux tu auras
On pouvait se croire en sécurité sur le Titanic… brise la glace, sinon elle te brisera.
A l’école de la vie, le monde est une cour de re création pour enfant sage.
Les yeux sont le miroir de l’âme, gare à l’âme de fond et l’océan de larmes.
Moi plus toi égal moi, calcul mental pour les forts en t’aime.
Va peur me faire trembler devant ce qui n’est pas, tu n’es que nuée.
Je ne peux pas le souffrir, donc je ne peux l’aimer, alors peut être le sentir ?
Qui regarde derrière tes yeux, est ce lui ? Jette un coup d’œil
Avoir une pierre tombale sur soi pendant toute une vie, ce n’est pas une vie !
Toutes ces vies passées en un clin d’œil et pourtant je n’ai rien vu.
Être simple, ce n’est pourtant pas compliqué !
Souvenirs quand vous passez devant l’écran, pourriez vous baisser un peu la tête.
Hier, il était roi, aujourd’hui il est étroit.
Quel vrai sens donner à une girouette ?
Là où le non brille, on se regarde souvent le nombril.
Si le je n’existe pas pourquoi l’inventer, en vaut-il la chandelle ?
L’ignorance est un tour de passé – passé .
On Satan toujours à mieux, et puis les « moi » passent…
Au centre de cette roue, il n’a pas de moi je.
En fait, cette fenêtre sur Dieu te fait naître.
Il faut vite pratiquer l’auto-psy du mental avant qu’il ne renaisse.
Entends-tu le soir le son du moi au fond du corps ?
Des astres ne te sauveront pas du désastre, oublie tes planètes pas nettes.
Il vaut mieux un petit chez soi qu’un grand moi chez les autres.
Un quart né , incarné, un carnet ? de brouillon alors..
Hava la vivante, Adam moi !
Le rêve parti, je m’extasie, c’était donc moi partout ?
L’homme en chemin perd ses rêves, mais il persévère.
Vieilles âmes, vieilles dames, après tant d’objets animés, n’êtes vous pas fatiguées ?
Au pied du maître étalons-nous sans mesure et mètre par mètre arpentons le chemin.
Après un tour de terre, je me retrouve au même endroit, pourquoi chercher si loin ?
C’est une grande tâche que de se détacher.
Comme un funambule, sur le fil de la vie, trouver l’équilibre et puis s’en balancer.
Il faut une confiance aveugle pour apprendre à voir.
Il nous arrive souvent une tuile en cherchant un toi pour s’abriter.
Celui qui pense ment, cache tes plaies si cela te plait.
Autour de toi, tout est non et tu t’étonnes que cela pèse des tonnes.
Dans le doute abstiens toi… de penser.
Comme le sable mouvant, ce qui est émouvant peut te perdre
Le chemin, il faut le connaître par cœur.
Les envies sont mieux vécues en vie.
Aller le cœur léger vers l’inconnu vous évite de prendre du poids.
Le cœur ,c’est comme les fleurs, il faut pleurer dessus pour qu’il pousse
Souvent quand le mental s’en mêle, tout s’emmêle.
Ne pas confondre femme intérieure et femme d’intérieur
Chaîne ou Etre, quelle essence d’arbre pour vous ?
Le Mental est un bavard, et sa bave peut rendre le chemin glissant
Tous les hommes naissent libres et Ego.
Un oui peut vous faire faire un pas, mais un pas ne le peut pas.
Le cœur a deux oreillettes, mais aussi deux oreilles.
A force de fuite, on peut devenir tout sec.
Le plus dur sur le chemin, c’est vous.
Pour couper certains nœuds, il faut l’âme tranchante.
La chasse au Moi est ouverte toute l’année.
Un grand Nom cache souvent un grand Non.
Une bonne larme peut scier le Mental le plus dur.
Le faux mage cent pour cent matière grise ne s’affine pas à la cave, c’est dommage.
Le rire est le propre de l’homme, mourir devrait l’être aussi.
Il y a en toi des inconnus dont tu connais le « non », ouvre ta porte, accueille les avec adresse.
Les vies s’enchaînent, amis pour une vie sans chaînes ouvrez la porte de l’enfer.
Ton disque est rayé, même des CD éternels n’y changent rien, joue ta musique toi-même.
C’est un parc d’attractions, où les enfants tournent en rond, sur un manège désenchanté.
Ce qui m’attend, je l’ai déjà vécu, à quoi bon ces vieux destins animés.
Tu n’es pas là pour le pouvoir, mais le » Pour Voir «
La liberté ne peut pas être une statue de pierre.
Le penseur lui, peut très bien être une statue de pierre.
La division est une opération qui oblige un jour, à compter par cœur.
Contre la dissolution, il n’y a pas dix solutions.
Le Mental, bavard, est comme un buvard, il adore les taches.
Sors de ton linceul, et revenant chez les vivants, tu ne seras plus seul.
Sois vivant et lumineux, ne reste pas lent ,terne et éteint.
Sois vécu, cesse d’être vaincu.
Être à la première place de la plus belle pièce, et ne pas la voir
Il est ouvert et il accueille, c’est un centre qui fait mûrir.
Tout a commencé par une pomme, depuis, on est paumé.
Cette terre d’asile est pleine de fous, depuis qu’une » Ève rose « …
Anges, Démons et merveilles, voies sans issue.
Il ne faut pas que l’émotion te censure, mais qu’elle t’indique la blessure.
C’est une alliée qui peut te rendre fou à lier.
Rien ne sert de te tendre, il n’y a rien à attendre .
Ce qui vient partira, ne fixe rien, ou tu en pâtiras.
Si ce que tu as senti ment, ce n’est pas du sentiment.
A ce jeu, quand tu perds des points, tu es gagnant.
Cesser d’être agité, agir pour s’assagir .
Quand une dette est due, elle est duelle.
Sur la coquille de Noah, y a t’il une place pour moi ?
Un présent, c’est un beau cadeau.
Dormir nuit et jour, nuit un jour
Il est si ouvert, qu’il en est transparent
Rester en silence est très bon pour la voie
Si vous êtes identifiés, votre non ne sera pas connu.
Le mental ment comme un démon dément, il faut le démonter.
Une île déserte, ça me dit de la visiter, mais à mon radeau je suis encore attaché.
Assez de centres de sécurité, il n’existe qu’un seul centre où règne la liberté.
Il faut noter les « non », car plein d’adresse il sont partout.
De tout ce passé libère toi, c’est le plus beau des présents.
Dans la dualité te trouves tu alité, cesse de te battre tu ne te feras plus abattre.
L’addition te parait salée mais ces petits » mais « , c’est toi qui les a commandés.
D’abord tuer, et ensuite, Tu es.
D’une énergie qui gît, peut parfois gicler une clé.
Il n’y a pas de hasard, il n’y a que des rendez-vous
Le plus beau jour pour vous, c’est Aujourd’Oui.
Ne pas prendre son courage à Demain, mais maintenant
Dormir dans la soie ou dormir dans le Soi?
Goûte à ma voie, disait le Prince elle t’enchantera.
Les pensées sont des parasites, un anti-mythe peut vous en débarrasser.
Le Maître est une fenêtre sur Dieu, penchez-vous, n’ayez pas peur de tomber.
Si tu manque d’empathie, tu en pâtis .
L’écoute, c’est si rare, pourtant elle ne coûte rien.
L’Ego est sans domicile fixe, pourtant, il aime ce qui est fixe.
Ce qui est vrai c’est que la vérité n’est pas ailleurs.
Tout ce qui change ment si l’on ne voit pas le changement.
Ému, le continent perdu.
Moi, Enfer et contre tous.
Prenez rendez-vous…pour Ici et Maintenant
La Mentalchimie, vieille science qui transforme le cœur en plomb.
Sur le chemin, l’unité de mesure, c’est le maître
L’absence de présence sera punie
IL est habile en déguisements, il est ailleurs.
Zéro n’est pas un nombre, il n’est rien, et pourtant il compte beaucoup !
Rejouer plusieurs fois les mêmes scènes, voilà bien un « art scénique » qui empoisonne la vie.
Comme les paysans sèment, il faut s’aimer d’abord et récolter ensuite.
Les « je » naissent et durent toute une vie, parfois plus.
Tu crois à tort ta créature, et ses torts te torturent.
Reconnais-tu autour de toi, ces pièces détachées, qui te sont si attachées.
Le Mental est il plus dur que le Métal, même quand il est rouillé.
Tu n’es pas lâche ? alors lâche !!
Un peuple entier est en toi, détends-toi !
Tes peurs sont des Dragons, embrasse-les, embrase-toi !
L’ignorance est source de projection, arrête ton cinéma !
« Ego Sum Resurectio » (mais oui bien sur!)
Le guide à mi-chemin ne te donne pas d’étoiles
C’est toi qui crée ton monde, et même immonde, tu y crois !
Tes cent cieux ne remplacent pas l’essentiel.
Esclave de ses sens ou esclave de votre essence?
Quand on ne peut être un disciple, on se fait maître.
La bouteille de spiritueux se vide, faites comme elle, redevenez spirituel.
Tout est un, mais je ne vois pas grand chose.
Le penseur de Rodin est Monu-Mental.
Comment faire pour s’aider? Il faut céder!
Plus, tu t’entêtes, plus tu t’endettes.
L’espoir est le fruit de la pomme, laisse le tomber.
Le matin, ton monde apparaît, miracle ou bien mirage ?
L’Inconscient est-il logique ? Non il est illogique !
Ce qui te capte, fait de toi une chaîne privée.
Des pensées, des pensées, que d’énergie dépensée !
Perdre ses illusions, n’est pas bon pour le Magicien.
Même une seconde, c’est déjà du passé, je suis dépassé.
Etre L’Hôte de l’autre, qu’est que cela vous ôte ?
Abandonner le superflu, être heureux dans le flux
Si vous êtes en peine sèche, faites le plein d’essentiel
Dormir dans la soie, ou dormir dans le Soi
Tout cela est à moi , et pourtant je n’en veux pas, émoi, émoi, émoi ! ! !
Présent seulement quelques minutes par jour, es tu las d’être là ?
Pour connaître le détachement, il faut ôter les taches.
Il y a ce qui libère, et il y a ce qui délibère.
Ruminer est bon pour la bête à cornes.
Attention à ne pas être pris en flagrant délit de fuite.
Avoir une opinion, c’est à voir.
Si sur le chemin tu te sens cahoté, il n’y à qu’à ôter, celui qui est gêné
Être fait néant n’empêche pas l’action.
La peur te suit comme ton ombre, ne fuis pas, elle reviendrait en nombre.
Pile et face se jouent dans la même pièce .
Le soleil donne sans compter, comme lui, cesse d’être fort en mat.
La lumière seule fait l’arc-en-ciel, suivez la flèche !
Un choix à faire, la vie elle est terne, ou la vie éternelle
Il est des endroits où le divin est servi, à vous faire perdre la tête.
Goûter à toute heure vous fera perdre du poids
L’Art de voir est un devoir.
Le Grand Troisième est si souvent dernier.
Pour méditer, videz les pages et livrez vous.
Si ton cœur est ouvert, tu es mûr pour l’amour.
IL vaut mieux être relié plutôt qu’être attaché.
On voit plus souvent ce qui haït que ce qui Est.
Laisser sa place à l’Autre, cela vaut le déplacement.
Ce jeu de rôles peut être drôle.
Dans les jugements, souvent le juge ment.
Et Moi ?… t’es toi !
Dans l’emmental, le meilleur, ce sont les trous.
On peut le tuer à larme blanche.
Coupez lui la tête, sinon c’est vous qui serez pendu.
Vous savez, il est mal » Un « , le malin.
Le Grand Usurpateur usurpe à tort son grand Je, ci-gît pour lui son petit j.
Gourou, Upagouru, ou pas gourou ?
Le Mental est un vieillard maniaque, qui devient vite saoulant.
La route du Soi pourrait venir de l’Inde.
Le petit moi dure bien des années.
L’univers est une pensée, soyons unis dans cette fleur
Les cieux sont au centre de la roue.
Trop de devoirs, vous empêchent de voir.
A vide, avide, choisir son poids …
Son regard est dans ta pupille, ne reste pas orphelin !
Beauté partout, ton message m’interpelle, Un dans les toiles, Un dans l’étoile.
Par le Silence, tu me parles !
Laisses le corps sans laisse.
Quand le bavard te met en loques, le silence est la plus grande des éloquences
Sans relâche, se relâcher.
Un éclaircie est claire si elle si elle éclaire.
Le Mental est un fait, railleur, et de métal tordu, il fait ta vie en taule.
Pour voir, il y a un axe, mais nous désaxés, nous y sommes sans accès.
La vie j’y lance mes forces vives, à quoi ça sert, sans vigilance ?