énergie ki

Énergie vitale KI, histoire et formes

Il est tout à fait possible d’augmenter votre énergie vitale , en effet, cette notion d’énergie est très peu connue dans notre culture occidentale et même les découvertes les plus récentes ne donnent pas accès à cette réalité..

  • OUI, vous prouvez améliorer votre sensation de vitalité !
  • OUI, vous pouvez retrouver une meilleure santé !
  • OUI, vous pouvez transmettre cette énergie !

Parler KI et énergie vitale à des occidentaux n’est pas chose facile car  cette notion est quasi inexistante pour eux.
Pourtant, le bon sens populaire et son langage imagé reconnaissent son existence, preuve que par le passé, la notion d’énergie était plus connue que de nos jours.
« Faire des flammes, péter le feu, se sentir en forme , avoir la caisse, avoir la patate, la gnak… » sont quelques expressions populaires qui confirment cela.

Énergie vitale KI en Occident

La notion de magnétisme est celle qui s’approche le mieux du concept d’énergie vitale

Au dix-huitième siècle, le mesmérisme et son approche concrète de l’énergie vitale est à remarquer.  Le médecin allemand Franz-Anton Mesmer, qui postulait l’existence d’un fluide magnétique universel dont on pouvait faire une utilisation thérapeutique, introduisit l’expression magnétisme animal en 1773.
Ses expériences qui peuvent  sembler ridicules sont sous certains aspects très riches et méritent le respect.

Énergie vitale KI en Chine et au Japon

L’énergie vitale KI est présente de façon très vivante dans la médecine, les arts et même la cuisine. Les mots ki ou chi traduisent cette réalité.

Le qi [tɕʰi˥˩] (ch. trad. : 氣 (炁 ou encore kǎnqì 坎炁) ; ch. simp. : 气 ; py : qì ; lit. : « souffle, énergie »N 1), ou ki [xǐ] (japonais : 気), est une notion essentielle de la culture sino-japonaise qui désigne un principe fondamental formant et animant l’univers et la vie1,2,3,4.

Dans cette approche spirituelle, le KI englobe tout l’univers et relie les êtres et les choses entre eux. Dans un organisme vivant, il circule à l’intérieur du corps par des méridiens qui se recoupent tous dans le « centre des énergies » appelé « champ du cinabre », tanden au Japon et dāntián en Chine. Il est présent dans toutes les manifestations de la nature.

La notion qì n’a aucun équivalent précis en Occident. On peut toutefois noter de nombreux liens de convergence avec la notion grecque de pneuma πνεῦμα (traduite par « souffle »), et dans la même optique avec la notion d’esprit, en latin « spiritus » (dérivé de spirare, souffler) qui signifie souffle, vent.

Tao est un terme de philosophie chinoise (en caractère chinois 道, dào signifiant « voie, chemin » ; prononciation en pinyin de mandarin : dào, en shanghaien: do; prononcé dō en japonais et do (도) en coréen).

Le tao est la force fondamentale qui coule en toutes choses dans l’univers, vivantes ou inertes. C’est l’essence même de la réalité et par nature ineffable et indescriptible. Il est représenté par le taìjítú, symbole représentant l’unité au-delà du dualisme yin-yang soit respectivement l’entropie négative et positive. Le Tao a été édifié ou systématisé dans le texte Tao Tö King attribué à Lao Tseu.

Le tao peut être considéré comme la matrice préalable au sein de l’univers au passage du qi ou souffle originel, précédant la parité binaire du yin-yang. Il est au cœur des conceptions éthiques chinoises (le mot « daode », morale, en est issu), généralement considérées comme une pragmatique du juste milieu, ou du choix propice.

Le tao est la notion maîtresse à l’œuvre dans le taoïsme, philosophie et voie spirituelle chinoise, le confucianisme y fait référence aussi (on utilise parfois abusivement le terme Tao pour dénommer le livre de Lao Zi, le Dao De Jing ou « classique du Dao »). Il est souvent traduit par « le principe ».

Au Japon, sur le même principe initial, c’est aussi la « voie » à suivre pour maîtriser un art qui mène vers l’unité. Le même idéogramme, le kanji (dō), est généralement utilisé en suffixe dans les nom d’arts martiaux japonais : karatedō, aikidō, kendō, jūdō, budō, iaidō, kyūdō, etc., mais aussi le kadō « voie des fleurs », autre nom de l’ikebana, l’art de l’arrangement floral nippon, ou le shodō « voie de l’écriture », la calligraphie japonaise.

Énergie vitale KI

Ces deux images illustrent bien notre propos sur le Ki énergie vitale

Le centre de la terre et son énergie vitale et le centre naturel de l’homme qui est une miniature du même principe du KI. Chez l’homme, on le nomme « dan tian » en chinois et « tanden » en japonais ou encore « Hara » quand on indique une zone plus large et non un point précis.

Énergie vitale KI en Inde

L’énergie vitale se retrouve aussi un peu partout, en particulier dans le yoga, la médecine, les arts et la cuisine.

Prāṇa est un terme sanskrit. La signification de ce nom composé est complexe car elle intègre simultanément les notions de souffle et de principe vital du souffle et de sa manifestation organique dans la respiration. Qui pense « souffle vital respirant » énonce le mot prāṇa, dont le pluriel s’écrit prāṇās, forme qui désigne un ensemble de cinq souffles vitaux. Le yoga existe sous de nombreuses formes en Inde:
Le jnana yoga, la voie d’un yoga dont le but est d’atteindre la connaissance transcendante.
Le bhakti yoga, la voie d’un yoga de dévotion.
Le karma yoga, la voie d’un yoga de service et d’action désintéressée.
Le rāja yoga, une voie de yoga s’inspirant des yoga sutra codifiés par Patañjali,

Énergie vitale KI en Orient / Asie

L’énergie vitale se retrouve chez certains  soufis,  dans la médecine traditionnelle Perse, les arts et la cuisine.

« Latifa » a été traduit par «subtilité», «corps ténu», «point subtil», ou «essence subtile ». Étant donné que ces « lata’if » ont été représentées dans les œuvres du Shah Wali Allah par des formes circulaires, je préfère les qualifier de « centres spirituels subtil » …
Bien que certains des « lata’if « ont des noms correspondant à des parties du corps ou des facultés ou sont parfois décrites comme étant situées dans des zones spécifiques du corps (foie, cœur, ou cerveau), ils ne doivent pas être vus comme étant identique aux organes correspondants.

Quand la science démontre l’Énergie vitale KI

Mitochondrie et Ki énergie vitale

Une mitochondrie (du grec mitos, fil et chondros, grain) est un organite à l’intérieur d’une cellule eucaryote, dont la taille est de l’ordre du micromètre. Son rôle physiologique est primordial, puisque c’est dans les mitochondries que l’énergie fournie par les molécules organiques est récupérée sous forme d’ATP (énergie contenue dans la liaison phosphate-phosphate), la source principale d’énergie pour la cellule eucaryote, par le processus d’oxydation phosphorylante.

Elle est considérée comme la « centrale énergétique » de la cellule, car c’est là que se déroulent les dernières étapes du cycle respiratoire (en présence d’oxygène, aérobie) qui convertit l’énergie des molécules organiques issues de la digestion (glucose) en énergie directement utilisable par la cellule (ATP). En cas d’absence d’oxygène la cellule utilise la fermentation dans le cytoplasme pour produire l’énergie nécessaire à son fonctionnement, mais c’est un système beaucoup moins efficace, qui dégrade de façon incomplète le substrat. La production d’acide lactique donne lieu, par exemple, à des phénomènes de crampes. L’augmentation de la concentration en ions H+ dans les cellules musculaires est une des raisons de la fatigue après une activité intense. En effet, ces ions H+ changent le pH intracellulaire et modifient de fait les conditions de fonctionnement enzymatiques de la cellule qui ne peut plus travailler correctement.

C’est dans la mitochondrie que se déroulent les 2 dernières phases de la respiration cellulaire : le cycle de Krebs (dans la matrice) et la chaîne de transport d’électrons (au niveau de la membrane interne). La première étape, la glycolyse, se déroule dans le cytoplasme cellulaire. Via le cycle de Krebs (donc en condition d’aérobiose), la mitochondrie permet, à partir d’une molécule de glucose, la production de 36 ou 38 molécules d’ATP (cela dépend de la navette utilisée pour transporter le NAD de la glycolyse).

Les mitochondries participent à l’apoptose (mort cellulaire) avec le cytochrome C. De plus, elles ont aussi une fonction de concentration et de stockage des ions calcium, sodium et potassium où ils sont stockés sous forme de granules opaques. On trouve également de l’or, du fer et de l’osmium.

Et maintenant le KI ?

Comme on le voit, l’énergie est réelle, que ce soit dans les traditions ou sous un microscope,
La question est comment faire pour augmenter cette énergie et pourquoi le faire ?.

Pourquoi

Une personne morte est sans KI, sans énergie, c’est ce qui fait d’ailleurs qu’elle est morte.

Quelles que soient vos intentions ou actions à mener, vous avez besoin de KI, d’énergie car vous allez en dépenser en fonction du but poursuivi.

Cela concerne bien entendu toute activité physique, mais cela va plus loin, toute activité psychique, émotions, pensées, consomment autant sinon plus que vos efforts musculaires.

  • Que ce soit pour chanter, peindre, jouer une pièce de théâtre, vous aurez besoin d’énergie.
  • Que ce soit pour soigner, pour jardiner, pour faire la cuisine, vous aurez besoin d’énergie.
  • Que ce soit pour concevoir, pour penser, pour imaginer, vous aurez besoin d’énergie.

La liste est longue, je dirai même infinie.

Comment augmenter l’Énergie vitale KI

Pour retrouver un bon niveau d’énergie, il existe bien entendu des moyens simples et naturels.

Moyens simples, ordre indéfini

  • Alimentation
  • Sommeil
  • Respiration

1) L’alimentation

Un régime alimentaire adapté à chacun est primordial et il doit correspondre à certains critères que je vais énumérer.

Bio si l’on peut, en effet, la nourriture industrielle fortement traitée et chimiquement polluée est à éviter car même si le corps arrive à muter petit à petit, ce ne sera pas dans un sens d’évolution.

Végétarien, végétalien ?
Là aussi, je dirai prudence, il ne faut pas tomber dans la bigoterie et adopter des pratiques alimentaires qui ne seraient que des croyances. On voit dans les religions le mal que font ces principes imposés et non raisonnés.
Chaque individu possède un organisme particulier et des besoins spécifiques. Il faut sentir « de l’intérieur » ce qui nous convient et aussi ce qui nous rend malade.

J’ai étudié le crudivorime mais aussi la macrobiotique. Les deux régimes ont parfois des résultats miraculeux mais ils ne peuvent convenir à la majorité, de même que le végétarisme.

L’alimentation dissociée introduite par Shelton apporte aussi une piste intéressante, ainsi que la cuisine traditionnelle chinoise et persane.

De toutes ces études, j’ai fait une synthèse que j’aborderai plus tard.

Une seule règle :
Nous sommes ce que nous mangeons, aussi bien au niveau chimique qu’énergétique.

2 ) Le sommeil

Une bonne qualité de sommeil est indispensable, il ne faut pas transiger avec cela et sauf de rares cas, nous avons besoin de dormir.

Éviter tout ce qui peut nuire au sommeil, c’est dire les « excitants de surface », c’est à dire l’alcool, le café, le tabac, la musique forte, les  vidéos violentes etc…

3 ) La respiration

Une respiration lente, ample, profonde, voilà un des secrets de la santé et de la vitalité
Il y a plusieurs bienfaits qui sont  issus de respiration :
Un apport en énergie subtile, un apport en oxygène, une amélioration du rythme cardiaque.

Il existe des centaines de techniques respiratoires, que ce soit dans les Yogas ou dans les Qi-congs, les querelles sont nombreuses et les résultats ne sont pas toujours objectifs.

Encore une fois, on tombe dans le dogme aveugle, on répète comme un perroquet des mouvements sans les vivre, on perd du temps et l’on risque même de se blesser.

J’opte personnellement pour la simplicité et j’ai retenu cinq structures précises qui fonctionnent  très bien en fonction des buts recherchés.

En conclusion

Nous venons de survoler la science de l’énergétique par ses aspects les plus évidents mais sachez que posséder de l’énergie sans savoir l’utiliser ne sert pas à grand-chose.

Pour lancer une flèche, il ne suffit pas d’être fort ou d’être adroit, il faut aussi être stable !
Je parle ici de stabilité émotionnelle, c’est-à-dire la plus difficile à obtenir, celle qui fait perdre ou gagner…mais c’est une autre histoire que je vous raconterai plus tard.