Combinaisons Alimentaires (d’après l’ouvrage de Herbert Shelton )
Pour maigrir ou pour grossir ( hé oui), rien ne sert de faire des régimes draconiens à la mode ( ceux des revues que l’on ressort tous les printemps) , il suffit tout simplement de bon-sens et de quelques règles très simples : ne pas associer certains aliments entre eux !
Cet article est mis à votre disposition pour faire connaître l’ouvrage d’Herbert Shelton qui a été un pionnier dans ce domaine et qui fut si souvent pillé par des best sellers. Il fut suivi par d’autres dont le célèbre Montignac…
Beaucoup de facteurs naturels ont une importance sur ce que nous sommes: l’air, l’eau, les aliments, le soleil, le repos, le sommeil, l’exercice la propreté, le travail sur les émotions, le jeûne etc..
Nous allons ici approcher un peu le facteur « aliment », par un regard sur la pratique des combinaisons alimentaires.
Pourquoi la pratique des combinaisons alimentaires?
Parce que l’action des enzymes de l’appareil digestif a des limites précises.(enzyme- substance qui permet la digestion).
Combiner correctement ses aliments est une manière intelligente de respecter ces limites.
La pratique des combinaisons consiste donc à éviter dans la composition des repas certains mélanges d’aliments et à en conseiller d’autres.
La composition des denrées alimentaires
Les denrées, telles qu’elles nous viennent du jardin, du verger, ou du magasin renferment:
– de l’eau
– un certain nombre d’éléments organiques:
- protéines
- hydrates de carbone
- graisses
- sels minéraux
- vitamines
Ces denrées contiennent ordinairement une certaine quantité de matières non digestibles.
La classification des denrées d’après leur composition
1 Protéines Ou Protides Ou Matières Azotées
C’est grâce à elles que la matière vivante existe et prend forme.
Voici les aliments qui contiennent un % élevé de protéines:
- produits végétaux: céréales, légumineuses, graines et noix, soja
- produits animaux: viandes, poissons
- produits sous-animaux: œufs, fromages, yaourts, lait
La ration protidique par jour est de 0,5 gr. par kg de poids.
2 Hydrates de carbone ou glucides ou sucres
Ils ont un rôle énergétique.
Ce sont: les amidons ou farineux;
- Amidons normaux ,arachide, céréales, châtaigne, fève, haricot, pois secs à l’exception du soya, pomme de terre, potiron, potimarron, topinambour, etc.
Amidons légers ou petits farineux: artichaut, betterave, carotte, chou-fleur navet, rutabaga, salsifis, etc. - Les sucres et sirops: sucre blanc, brun, de canne, d’érable, de lait miel, etc.
- Les fruits doux: banane, datte, figue, kaki, poire séchée, pruneau, raisin, raisin sec, etc.
La ration en glucide est de 4 à 8 gr. par kg. de poids par jour.
3 Graisses ou lipides
Ce sont les aliments calorigènes.
- Huiles de première pression à froid, fruits oléagineux, poissons: ce sont des aliments riches en acides insaturés
Charcuterie, viandes, graisses végétales, huiles raffinées, margarine - Sous-produits animaux:
ce sont des aliments riches en acides gras saturésPréférez les premiers aux seconds parce que notre ration de corps gras doit nous fournir en justes proportions, acides gras insaturés: 80à9091 et acides gras saturés 10à2096 et seules les huiles non raffinées de première pression à froid remplissent ces conditions.
La ration lipidique par jour est de lgr. par kg. de poids.
4 Les Fruits Acides
Ananas, citron, grenade, orange, pamplemousse, pêche acide, pomme acide prune acide, raisin acide, tomate, fraise, framboise, groseille etc.
5 Les Fruits Mi-Acides
Abricot, cerise douce, figue fraîche, mangue, papaye, pêche douce, poire, pomme douce, prune douce etc.
6 Les Légumes Verts Non Farineux
Ce sont tous les légumes succulents, qu’ils soient de couleur verte, rouge, jaune ou blanche.
- Ail, asperge, feuilles vertes de betterave, brocoli, carotte (feuilles vertes), céleri, ciboulette, chicorée, choux commun, de Bruxelles, de Chine, chou-fleur, frisé, concombre, courge, courgette, cresson, échalote, endive, épinard, haricot vert, laitue, mais vert, moutarde, feuilles vertes de navet, oignon, oseille, persil, pissenlit, poireau, poivron doux, pousse de bambou, radis, rhubarbe, scarole etc.
7 Melons
Toutes les espèces de melons et de pastèques.
Un aliment naturel peut contenir plusieurs éléments mais ils sont naturellement équilibrés pour la digestion.
Notre Corps a aussi besoin
De Minéraux: Sels Minéraux Et Oligo-Éléments
De Vitamines: à doses infinitésimales elles sont indispensables au développement, à l’entretien et au fonctionnement de notre organisme.
Il y a aussi des substances qui peuvent occasionner de grosses pertes vitaminiques: certains médicaments, alcool, tabac, viande, excès de sucres…
La digestion
La digestion comporte une partie mécanique et une partie chimique.
La partie mécanique= la mastication, la déglutition et le brassage.
La partie chimique = les changements que subissent les aliments au cours de leur passage dans le tube digestif.
Insistance est faite sur la digestion buccale et stomacale plus que sur la digestion intestinale.
La digestion chimique résulte de l’intervention d’enzymes
= des ferments inorganiques, dans des conditions nettement déterminées
Il existe donc des principes de la chimie de la digestion sur lesquels seront établies les règles de combinaisons.
Une enzyme= un catalyseur, c.à.d. un agent qui par sa présence permet à des substances de se combiner.
Les enzymes qui entrent en jeu dans la digestion servent à réduire les aliments en des composés plus simples qui peuvent être acceptés par
le flux sanguin et que les cellules du corps utilisent dans la formation de nouvelles cellules.
Différence entre enzymes et bactéries:
L’action des enzymes dans la digestion ressemble à une fermentation mais ce n’en est pas une.
La fermentation provient des bactéries ou ferments organiques et les produits qui en résultent ne sont pas nutritifs et même toxiques.
La putréfaction résulte aussi de l’action des bactéries et produit des poisons.
Enzymes et substratum
Le substratum est la substance sur laquelle agit une enzyme: par exemple l’amidon est le substratum de la ptyaline.
Chaque enzyme serait adaptée à un substratum déterminé (comme chaque serrure a une clé déterminée).
Ce qui justifie à nouveau de ne pas tout mélanger.
Les différentes enzymes
1 L’enzyme de la bouche est la ptyaline
La digestion commence dans la bouche.
La mastication a pour but de broyer les aliments, les réduire en parcelles minuscules et les insaliver complètement.
Cependant la chimie de la digestion ne commence dans la bouche que pour l’amidon.
La salive est un fluide alcalin qui contient la ptyaline.
Cette enzyme réduit l’amidon en maltose (sucre complexe).
Le maltose est ensuite travaillé dans l’intestin par la maltase qui le réduit en glucose ou sucre simple.
La ptyaline a donc préparé l’entrée en jeu de la maltase qui ne peut agir directement sur l’amidon.
Une autre enzyme: l’amylase est une enzyme de sécrétion pancréatique qui réduit elle aussi, l’amidon, comme la ptyaline. D’où, l’amidon qui échappe aux phases de la digestion buccale et stomacale peut encore être transformé en maltose et en achrodextrine pourvu que cet amidon n’ait pas fermenté avant son arrivée dans l’intestin.
Point important: un acide faible ou une réaction fortement alcaline détruisent la ptyaline qui ne peut agir qu’en milieu modérément alcalin; cette action limitée de la ptyaline justifie à nouveau les bonnes combinaisons.
2 L’enzyme de l’estomac est la pepsine
Selon le type de l’aliment ingéré, le suc gastrique peut aller du presque neutre au fortement acide.
Ce suc contient 3 enzymes:
– la pepsine qui agit sur les protéines ( toutes sortes de protéines – la lipase qui a une légère action sur les graisses. – la présure qui coagule le lait.
La pepsine est la seule enzyme qui agit sur toutes sortes de protéines
Les autres enzymes qui interviennent dans la digestion des protéines sont adaptées à 1 type particulier de protéines. C’est important: par exemple: l’érepsine qui se trouve dans les sécrétions intestinale et pancréatique, n’agit pas su les protéines complexes. Elle n’agit que sur les pept et les polypeptides pour les réduire en acides aminés Si la pepsine ne réduisait pas d’abord les protéines en peptides, l’érepsine n’agirait pas sur l’aliment
protéique.
La pepsine n’agit qu’en milieu acide. Elle est détruite en milieu alcalin Une basse température comme celle que produit l’absorption de boissons glacées, retarde et même suspend son action.
L’alcool précipite cette enzyme.
Adaptation des secrétions
Le corps a le pouvoir d’adapter ses sécrétions aux divers aliments. Le pouvoir a aussi ses limites.
Les quantités et proportions variables des divers éléments qui composent le suc gastrique donnent un fluide aux propriétés multiples et qui permet la digestion des différentes sortes d’aliments. D’où selon les besoins, la réaction du suc peut être neutre, faiblement ou fortement acide et contenir plus ou moins de pepsine. Le facteur temps intervient aussi. Le suc peut changer de caractère à un moment ou à un autre.
La salive s’adapte, elle aussi aux différents aliments et besoins digestifs.
Par exemple: les acides faibles provoquent un flot copieux de salive, les alcalins un flot faible ou aucun.
Différentes glandes salivaires entrent en jeu suivant l’aliment à digérer.
- La ptyaline n’agit pas sur le sucre.
- Les amidons trempés ne reçoivent pas de salive.
- Pas de ptyaline sur la viande et la graisse.
- On croit que la sécrétion gastrique produit une gamma d’adaptation encore plus étendue.
Les combinaisons d’aliments
Certaines combinaisons outrepassent l’action de nos enzymes.
Acide-amidon
Un acide faible détruit la ptyaline d’où pas de digestion de l’amidon
Exemple: manger des fruits acides avant un déjeuner de céréales.
On peut avoir l’impression que tout se passe bien, c’est
parce que le suc pancréatique rattrape la situation.
Un faible %tage d’acide détruit rapidement la lipase gastrique.
1 à 2 p.c. de vinaigre suffisent à suspendre la digestion salivaire. De même l’acide des fruits détruit la ptyaline et suspend la digestioi des amidons.
RÈGLE: manger acides et amidons à des repas séparés.
Protéine amidon
L’ingestion d’un aliment farineux détermine une sécrétion gastrique d’espèce différente de celle que réclame l’ingestion d’un aliment protéique.
Pour un aliment unique de combinaison amidon-protéine, le corps peut facilement adapter ses sucs, quant à leur force et quant à leur entré( en action, suivant ce qu’exige l’assimilation de l’aliment. Mais l’ingestion de deux aliments aux exigences différentes et même opposé( rend impossible cette adaptation précise.
Exemple: si nous mangeons en même temps pain et viande, voici ce qui : produira: pendant les deux premières heures de la digestion, l’estomac au lieu de recevoir un suc gastrique presque neutre, sécrétera immédiatement un suc fortement acide, et alors la digestion des amidot s’arrêtera presque instantanément.
RÈGLE: manger les aliments protéiques et les amidons (hydrates de carbone ) à des repas séparés.
En pratique: les farineux, céréales, pain, p.d.t, etc. ne sont pas à prendre en même temps que les éléments protéiques viande, oeufs, fromages, fruits azotés etc.
Protéine protéine
La digestion efficace de deux protéines, différentes par la composition et le caractère, et associées à d’autres facteurs alimentaires, requl de la part des sécrétions, une modification et un minutage propres chaque protéine.
Par exemple: le suc le plus fort agira sur la viande dans la première heure de la digestion, et sur le lait, dans la dernière heure.
RÈGLE: ne manger à un même repas qu’un aliment contenant une protéine concentrée.
Acide-protéine
Les acides empêchent le flot du suc gastrique de se déverser.
Exemple: jus de citron ou vinaigre dans les salades avec protéines arrêtent brusquement la sécrétion chlorhydrique et est donc un obstacle â la digestion des protéines.
RÈGLE: manger les protéines et les acides à des repas séparés.
Exception à da règle: les noix et le fromage à cause de la présence élevée de graisse et huile.
Graisse protéine
Les corps gras réduisent le volume de la sécrétion gastrique, ralentit l’activité des glandes gastriques, abaisse la quantité de pepsine et d’acide chloridrique.
RÈGLE: manger les corps gras et les protéines à des repas séparé!
Pour neutraliser; manger beaucoup Je légumes verts, surtout crus.
Sucre protéine
Les sucres ne sont digérés ni dans l’estomac, ni dans la bouche, mais dans l’intestin.
RÈGLE: sucre et protéines à des repas séparés.
Sucre amidon
Les sucres digérés dans l’intestin.
Associés aux amidons, ils fermentent dans l’estomac.
De plus, si l’amidon est recouvert d’une enveloppe sucrée, il n’y aura pas l’adaptation de la salive à la digestion de l’amidon.
Prendre du sucre libère un flot de salive, mais cette salive ne contient pas de ptyaline.
RÈGLE: manger amidons et sucres à des repas séparés. Les melons
Manger les melons seuls.
Le lait
Prendre le lait seul
Les desserts
Prendre de préférence les desserts seuls ou à un repas de fête.
les causes de fermentation
- La suralimentation
- Les protéines impropres
- Les mauvaises combinaisons
- Les états physiques et émotifs
- Le flux sanguin devrait recevoir des substances nutritives et non des poisons.
Les céréales et les légumineuses
Les céréales sont riches en amidons, elles assurent à l’homme un apport calorique important. Elles sont importantes sur le plan protéique. Mais tout aliment riche en protéines renferme généralement un ou deux facteurs limitants. La valeur biologique des protéines consommées est liée au facteur limitant. Pour pallier à cet inconvénient sont consommés au même repas des aliments protéiques différents dans leur composition en acides aminés: ainsi l’association céréale + légumineuse accroît la valeur des protéines absorbées. Les légumineuses doivent être cuites ou germées.
Les céréales
- Le riz
Le riz complet est un aliment qui renferme de nombreux éléments vitaux absolument indispensables. Il contient une valeur nutritive équilibrée, Il contient les 5 éléments alimentaires essentiels: protéines, lipides, minéraux, glucides, vitamines. Il procure à notre organisme le maximum d’énergie tout en n’exigeant qu’un minimum d’effort de nos organes d’assimilation. - Le blé ou froment
C’est une des plus anciennes céréales consommées. Il a une haute valeur énergétique et contient vitamines A,B et E. - Le maÎs
Le maïs est à préconiser pendant la saison chaude. - Le millet
Il est très riche en vitamines A, phosphore, magnésium et en fer.C’est un aliment précieux. Il est favorable à la peau, ongles, cheveux, émail dentaire. - L’avoine
C’est une céréale énergétique de la saison froide. Elle riche en minéraux et en vitamines B. Elle possède une action stimilante de la fonction tyroïdienne et des échanges. - Le sarrasin
C’est un aliment bien équilibré et particulièrement riche en magnésium. Il est indiqué pour les organismes affaiblis ou souffrant de faiblesse des vaisseaux capillaires, ainsi que
pour le développement des enfants après l’âge d’un an. - L’orge
Elle devrait figurer durant toute l’année une fois par semaine à nos menus. Elle est favorable à l’hygiène intestinale. - Le seigle
C’est la céréale du sédentaire. Elle favorise la circulation, assouplit les vaisseaux et combat la constipation.
Les céréales devraient être présentées chaque jour sur notre table, accompagnées de légumes et de légumineuses. Ainsi nos repas seront sains et équilibrés.
Les légumineuses
- la fève
- Le haricot
Il doit être bien cuit. Le faire germer 24 h avant de le cuire. Il existe Soissons, flageolet, azuki.
L’azuki agit favorablement sur les cellules des tissus filtrants des reins. La consommation idéale serait de 1 à 2 cuillérées à soupe une fois par semaine. - La lentille
C’est la plus digeste des légumineuses. Elle possède un taux élevé de protéines. - Pois chiche
Le pois chiche a une grande valeur vitaminique, il renferme des sels minéraux: calcium, phosphore et magnésium. Il est facile à digérer. Faites-le germer avant de l’utiliser. - Le soja
C’est une légumineuse riche en protéines. Ne la consommez jamais crue, ni même germée. Préférez-lui ses dérivés: tofu, lait de soja, tempeh, tamari.
Les huiles et corps gras
Notre ration de corps gras doit être variée et nous fournir en justes proportions, acides gras insaturés (80 à 90%) et acides gras saturés (10 à20%) afin de ne pas surcharger notre foie. Seules les huiles non raffinées de première pression à froid remplissent ces conditions.
Corps gras très sensible, les huiles de première pression supportent très mal les hautes températures.
- Arachide: adoucissante du tube digestif,
- Carthame: riche en acide linoléique, hypocholestérolémiante.
- Germe de blé: riche en vitamine E
- Noix: riche en poly-insaturés,
- Olive: contre les troubles hépatiques, rénaux et digestifs.
- Pépins de courge: reminéralisante, anticarie, vermifuge.
- Sésame: protège le système nerveux et cardio-vasculaire.
- Tournesol: régule le système nerveux et endocrinien, hypocholestérolémiante.
Pour profiter au maximum des bienfaits de chacune des huiles alimentaires, n’hésitez pas à faire des mélanges:
pour chaque jour:
1/3 d’huile d’olive
1/3 d’huile de tournesol
1/3 d’huile de sésame
-d’huile de germe de blé :
-d’huile carthame :
à parts égales
Les margarines
Seuls les magasins de diététique sont susceptibles de nous offrir une margarine composée d’huiles végétales non raffinées.
Le beurre
Choisissez toujours un beurre cru non pasteurisé. N’en usez que modérément.
Les compléments alimentaires
- Le germe de blé
est riche en calcium, fer, magnésium, manganèse et phosphore. - La gelée royale
est la substance naturelle la plus riche en vitamines B5 (cicatrisation et régénération des tissus). - La levure
est un puissant reminéralisant et rééquilibrant nerveux. Le miel
au contraire du sucre, est chargé en vitamines, minéraux, substances antibiotiques. - Le pollen
est un complément de choix dans le traitement de l’anémie, déminéralisation, nervosité, troubles cardio-vasculaires, vieillissement. - Les algues
riches en sels minéraux et oligo-éléments. - Le tamari
riche en protide. - Le sel marin non raffiné
riche en magnésium.
Tableau simplifie des associations
Midi
- Riz Légumes Crus (en s’accordent bien avec entrée )
- Couscous Légumes Cuits (en plat principal )
- Boulgour
- Orge
- Avoine s’accordent bien avec Lentilles
- Azukis
- Haricots secs
- Épeautre
- Millet
- Pâtes
- Pain
( donc toutes les céréales)
Soir
- Fromage
- Légumes Crus (En Entrée)
- Légumes Cuits (En Plat Principal)
- Oeufs
- Tofu
- SEITAN
Les fruits se mangent seuls (exception est faite dans la confection d’un dessert aux fruits pour le thé).
Application pour une journée
Le Petit Déjeuner
– Fruits ou
Pain complet + tahin ou pâte d’amandes, de noisettes ou margarine, ou beurre.
Un peu de confiture (sans excès puisque confiture = sucre).
Un peu de fromage blanc (sans excès puisque fromage = protéine).
ou
– Muesli ou une crème de céréales.
le dîner (déjeuner)
– Crudités servies en entrée.
– 1 glucide au choix (céréale ou pâte ou p.d.t. ou pain ) – 1 ou plusieurs légumes cuits.
Le Souper ( Dîner)
– Crudités servies en entrées.
– 1 protéine au choix: seitan, tofu, œuf, fromage (poisson, viande).
– 1 ou plusieurs légumes cuits.