Sombre constat de la pensée négative
Avez-vous remarqué le triste contenu des conversations de nos congénères ?
A la question “Comment allez-vous ?”, ils vous répondent en vous déversant un flot continu de mauvaises nouvelles sur la plupart des sujets !
La santé, le moral, la famille, la politique, la météo, RIEN NE VA !
Il est amusant par contre de constater que cette phrase “Comment allez-vous”, d’après la légende urbaine, était relative à notre transit intestinal ! En y regardant du plus prêt, il y a bien une analogie entre nos états mentaux et nos intestins, on parle bien maintenant de notre deuxième cerveau et des relations étroites entre nos émotions et notre système digestif ! Nos pensées font naître des émotions qui agissent sur notre corps, c’est une évidence.
Et si on éliminait aussi nos déchets par la parole ?
Origine de toutes ces “déjections verbales”
Dans notre société moderne, les médias occupent une place centrale, fournissant des informations sur une grande variété de sujets. Malheureusement, une tendance préoccupante a émergé au cours des dernières années : la surabondance de mauvaises nouvelles. Les médias diffusent en permanence des informations négatives, ce qui peut avoir un impact significatif sur la santé mentale des individus. Dans cet article, nous explorerons les effets néfastes de cette tendance et son impact sur notre bien-être psychologique.
Le pouvoir de l’attention médiatique sur la pensée négative
Les médias jouent un rôle crucial dans la diffusion de l’information, mais ils sont également motivés par des intérêts commerciaux. Les mauvaises nouvelles attirent davantage l’attention du public, suscitant des réactions émotionnelles intenses. Les médias exploitent souvent cette dynamique en mettant l’accent sur les événements tragiques, les conflits et les catastrophes. Bien que ces sujets soient indéniablement importants, une exposition excessive à ces nouvelles négatives peut être néfaste pour notre santé mentale.
Impact sur l’anxiété et la dépression
La consommation excessive de mauvaises nouvelles peut entraîner des niveaux élevés d’anxiété et de stress. Les récits alarmants et répétés d’actes de violence, de catastrophes naturelles ou de problèmes économiques peuvent nous donner l’impression que le monde est un endroit dangereux et instable. Cela peut susciter des sentiments d’impuissance, d’angoisse et d’insécurité permanente.
De plus, cette exposition continue aux mauvaises nouvelles peut également contribuer au développement de la dépression. Les récits sombres et les images déprimantes peuvent affecter notre humeur, nous plongeant dans un état de tristesse et de désespoir. La répétition constante de nouvelles négatives peut renforcer notre perception d’un monde inhospitalier, augmentant ainsi le risque de développer des symptômes dépressifs.
Biais de perception et pensée négative
La surabondance de mauvaises nouvelles peut également affecter notre perception de la réalité. En raison de la sélection de l’information par les médias, il est facile de développer un biais de perception négatif. En ne présentant qu’un aspect limité de la réalité, les médias peuvent nous donner une vision déformée du monde. Nous pouvons commencer à croire que les problèmes et les tragédies sont omniprésents, alors que de nombreux aspects positifs sont souvent négligés.
De plus, une exposition constante aux mauvaises nouvelles peut renforcer notre pensée négative. Lorsque nous sommes bombardés d’informations pessimistes, il devient plus difficile de voir les aspects positifs de la vie. Cela peut entraîner une spirale descendante de pessimisme et d’apathie, affectant notre bien-être émotionnel et notre motivation.
Pensée négative à 90% du temps!
Les médias ont un impact considérable sur notre santé mentale, et la surabondance de mauvaises nouvelles peut avoir des effets néfastes sur notre bien-être psychologique. Il est essentiel d’adopter une approche équilibrée de la consommation médiatique, en limitant notre exposition aux nouvelles négatives et en cherchant activement des sources d’information positives et inspirantes.
La pensée négative est une monstruosité omniprésente dans notre société et mène à la folie dont on peut voir les résultats tous les jours!
La pire des solutions à la pensée négative
La consommation d’antidépresseurs en France est en augmentation constante depuis plusieurs années, ce qui soulève des inquiétudes quant à l’état de santé mentale de la population. Les chiffres révèlent une tendance préoccupante où de plus en plus de personnes souffrent de dépression et d’angoisse, nécessitant un recours accru aux médicaments.
La dépression et l’anxiété sont des problèmes de santé mentale courants et sérieux qui touchent un nombre croissant de personnes en France. Les causes de ces troubles sont multifactorielles, résultant d’une combinaison de facteurs biologiques, psychologiques et sociaux. Les pressions liées au travail, aux relations interpersonnelles, à la société moderne et aux changements de mode de vie contribuent tous à cette augmentation de la prévalence des troubles mentaux.
Les médicaments antidépresseurs sont souvent prescrits pour traiter la dépression et l’anxiété. Ils peuvent aider à atténuer les symptômes et à améliorer la qualité de vie des personnes qui en souffrent. Cependant, leur utilisation excessive soulève des préoccupations quant à une approche purement pharmacologique de la santé mentale, sans prendre en compte les causes sous-jacentes des troubles.
Cultiver la pensée positive et l’enseigner aux enfants !
La pensée positive est une compétence précieuse qui peut aider les enfants à développer une attitude optimiste face à la vie, à renforcer leur estime de soi et à faire face aux défis quotidiens. En leur enseignant les fondements de la pensée positive dès leur plus jeune âge, nous pouvons contribuer à favoriser leur bien-être mental à long terme. Dans cet article, nous explorerons l’importance de l’enseignement de la pensée positive aux enfants et partagerons des conseils pratiques pour les aider à cultiver cette approche positive de la vie.
Promouvoir la résilience et l’estime de soi
L’enseignement de la pensée positive aux enfants leur permet de développer des compétences de résilience et d’estime de soi. En les aidant à adopter une attitude positive, ils seront mieux équipés pour faire face aux difficultés et aux échecs de la vie. Ils apprendront à voir les obstacles comme des opportunités de croissance et à persévérer face aux défis.
Renforcer les relations interpersonnelles
La pensée positive favorise également des relations interpersonnelles positives. Les enfants qui ont une attitude positive sont plus susceptibles d’être empathiques, d’encourager leurs pairs et de construire des amitiés solides. En enseignant aux enfants à adopter une attitude positive envers les autres, nous encourageons des interactions saines et constructives.
Pratiquer ET enseigner la pensée positive aux enfants
Conseils principal
Je vous conseille bien sûr de vous initier à l’autosuggestion consciente d’Émile Coué et bien entendu de la pratiquer de façon journalière. Cette méthode est restée très moderne et a souvent été copiée sans le dire. Vous trouverez de nombreux conseils sur ce site dédié à Émile Coué.
Nul n’est prophète en son pays et le célèbre pharmacien de Nancy n’échappe pas la règle. Ce génie a été une véritable star aux États-Unis il y a un siècle. Ce fut la même chose en Allemagne, en Suisse, en Russie et bien plus. Hélas en France, on ne connait plus que cette sotte expression “C’est la Méthode Coué…” que l’on prononce avec un air complice et goguenard. Pourtant le visionnaire Émile Coué avait compris à son époque et par expérimentation ce que les neurosciences commencent à percevoir: la puissance de notre inconscient sur notre corps, sur notre fonctionnement, sur notre VIE !
L’ironie voudra que les sages Indiens en connaissent encore bien plus depuis 3000 ans, mais c’est une autre histoire.
Vous trouverez des ressources en annexe sur ce site aussi bien des conseils de lecture que des possibilités de formations à l’autosuggestion consciente.
Conseils généraux
Modèle de comportement positif : Les enfants apprennent en observant leurs parents et les adultes qui les entourent. Veillez à être un modèle de pensée positive en adoptant vous-même une attitude optimiste et en gérant les situations de manière constructive.
Encourager la gratitude : Apprenez aux enfants à exprimer leur gratitude envers les petites choses de la vie. Ils peuvent tenir un journal de gratitude ou partager chaque jour quelque chose pour lequel ils se sentent reconnaissants. Cela les aide à développer une perspective positive et à apprécier les aspects positifs de leur vie.
Faire face aux pensées négatives : Aidez les enfants à reconnaître et à gérer les pensées négatives. Encouragez-les à remplacer les pensées négatives par des pensées positives et encourageantes. En les aidant à changer leur monologue interne, ils développeront une attitude plus positive.
Encourager la pensée créative : Stimulez la créativité des enfants en les incitant à trouver des solutions positives aux problèmes. Encouragez-les à explorer différentes perspectives et à chercher des opportunités d’apprentissage et de croissance dans les situations difficiles.
Célébrer les réussites : Félicitez et célébrez les réussites des enfants, quelles qu’elles soient. Mettez l’accent sur les efforts, les progrès et les réalisations, qu’elles soient grandes ou petites. Cela renforce leur estime de soi et leur confiance en eux.
Mes conclusions
Avec le temps, je rencontre de plus en plus de personnes sympathiques et lumineuses qui me disent : ” J’ai été élevé dans la Méthode Coué, mes parents étaient convaincus et dès mon plus jeune âge, j’ai répété sa petite formule !”
Je suis très agréablement surpris car ces personnes ont “réussi dans la vie” ou du moins ont réussi leur vie. Elles ont une situation enviable, elles ont du charisme, s’expriment bien, bref, elles sont remarquables ! Seraient elles comme cela sans Émile Coué ? Nul ne peut le dire, mais on peut y réfléchir …
Et si c’était cela LA solution, le contre poison à la pensée négative ?
Enseigner la pensée positive aux enfants est un investissement précieux dans leur bien-être mental. En leur fournissant des outils pour cultiver une attitude optimiste, nous les aidons à développer leur résilience.
Passer de 90% de pensée négative à 90% de pensée positive …Quel bonheur !
Conseils pour une consommation médiatique équilibrée
Alors, que pouvons-nous faire pour préserver notre santé mentale dans un monde saturé de mauvaises nouvelles médiatiques ? Voici quelques conseils pour une consommation médiatique équilibrée :
Limitez votre exposition : Fixez des limites claires quant au temps que vous consacrez aux actualités. Évitez de vous immerger constamment dans les informations négatives et accordez-vous des moments de déconnexion.
Soyez sélectif : Choisissez judicieusement les sources d’information auxquelles vous vous exposez. Optez pour des médias qui fournissent un équilibre entre les nouvelles positives et négatives, et qui présentent une perspective plus large et nuancée des événements.
Diversifiez vos lectures : Ne vous contentez pas d’un seul type de média. Lisez des livres, des articles et des magazines qui traitent de sujets intéressants et inspirants. Explorez des sources qui se concentrent sur des histoires de résilience, d’espoir et de progrès.
Pratiquez la modération émotionnelle : Reconnaître et gérer vos émotions en relation avec les nouvelles est essentiel. Si vous ressentez de l’anxiété ou de la tristesse après avoir été exposé à des mauvaises nouvelles, prenez du temps pour vous recentrer et pratiquer des activités qui vous apaisent, comme la méditation, le sport ou les loisirs créatifs.
Cultivez un environnement positif : Entourez-vous de personnes positives et engagez-vous dans des conversations qui favorisent l’espoir et la résilience. Évitez les discussions excessivement négatives et encouragez des échanges constructifs et équilibrés.
Prenez des pauses numériques : Accordez-vous régulièrement des moments sans écrans. Utilisez ce temps pour vous reconnecter avec la nature, pratiquer des activités physiques, socialiser en personne ou simplement vous détendre.